Traitrise [Yutaro]

Shohei voulait fuir partir après cette horrible vue. Son visage laissait exprimer son air furieux. Il n’en pouvait plus. Comment Yutaro pouvait lui faire une telle chose. Il n’arrivait pas à le comprendre, il ne lui avait même pas demandé de l’aide et si c’était ainsi qu’il voulait l’aidé, il se trompait sur toute la ligne.

Le trésor n’eut le temps de faire deux pas, qu’un mouvement le retint par le membre. Hina. Malgré qu’il ne la connaisse pas réellement, il ne voulait pas voir son visage abattu par la divulgation de ce qu’il venait de voir. Hina perdrait son sourire, son sourire chaleureux et cela, Shohei ne le voulait pas. Il se retourna en sa direction, le regard furieux, noir de haine.

~ Que se passe-t-il ? ~

Non il ne pouvait lui dire, il ne pouvait cracher cela afin de la blesser, elle devait partir et attendre le retour du Prince auprès d’elle. Mais, les pensé du Takara Kimura n’étaient pas prête d’être exaucé. Son regard vit la porte s’ouvrir. La jeune Missy se trouvant à ses cotés se retourna et resserra sa poigne sur le bras de Shohei lorsque tout deux aperçurent, la grande Missy au pas de cette porte.

Le visage du jeune Kimura se détourna et se posa sur le sol. Il ne voulait pas voir cela et encore moins l’expression de la gentille Hina. Pourquoi tout le monde cherchaient-ils à la faire souffrir ? Elle n’était pas méchante, bien au contraire. Son caractère dure de quelques fois peut être repoussant mais son autre coté, son coté doux,… Shohei ne le supportait plus, Hina n’avait le droit de souffrir involontairement. Et Yuriko comme Yutaro se le permettait comme si de rien n’était.

Puis, en un court instant, la jeune Satomi Hina tourna les talons. Fuir. Elle avait raison, mieux valait pour elle. Au même moment, il vit également Yuriko passer devant elle. Sans même un regard sur lui, elle était partit au trousse de Hina.

« - Hina matte !! »

Yuriko ne comprendra donc jamais, que ses actes son parfois trop déplacer. Je fais et tu me pardonne ? Bien trop facile. Les gens ont grandi et ont surtout apprit à réfléchir. Se laisser berné à une chose si simple, personne ne le pourrait et Shohei fut satisfait de voir Hina disparaitre dans le tournant du couloir.

Le Takara reposa ses yeux sur la porte. Refermer. Yutaro n’était donc pas sortit ? Si il ne voulait sortir, sa serait lui qui rentrerait. S’approchant de la porte, il s’apprêtait à empoigné le loquet lorsque… Yutaro se trouva devant lui. Son visage s’endurcit face aux sourire que le Prince lui adressa. Se moquait-il de lui ? Shohei l’ignora. Fronçant les sourcils, il vit que son « ami » venait d’effacer son sourire insupportable. Le Takara Kimura rentra dans la pièce poussant le garçon pour passer.

« Reste là. Je crois que tu as des choses à me dire non ? »

Shohei se retourna en direction du Prince. La porte s’était refermée derrière lui dans un claquement qui le fit sursauté. La peur. Pourquoi avait-il toujours si peur de Shohei Kimura ? Après tout, cette fois ci, il avait bien raison car Shohei ne lui ferait aucun cadeau.

S’approchant d’Okamoto, son regard exprimait une haine imparable contre lui. Le visage du Prince exprimait un peu de peur mais il essayait de le cacher. La démarche assurée de Sho n’était non plus fait pour rassurer le monde contre qui il devait se venger. Arrivant à la hauteur du Prince, il vit que se dernier dans un court mouvement essaya de l’attraper afin de s’enroulé contre lui. Les yeux de Shohei se durcirent encore et encore. Rattrapant Yutaro par les épaules, il le plaque violement contre le mur.

« A quoi tu joues là ? Tu crois que je ne sais pas ce qu’il c’est passer il y moins de 5 minutes dans cette pièce ! Tu me dégoute Yutaro, ne crois pas que tu sois le plus puissant de nous 6 ! »

La poigne que Sho exerçaient sur le plus jeune se resserrait. Il voulait le faire souffrir comme lui venait de le faire. Comment avait-il put lui faire confiance ? Comment peut-il simplement être ami avec une telle personne ? Mais grâce à cela, toutes ces histoires passées, une chose était sûr. C’est que Kimura Shohei, le véritable était revenu.

Shohei était bien devant lui et cela ne presageait rien de bon. Comment faire entendre à un énervé constant et amoureux transit que ce qui venait de se passer était un accident. Car oui, Yutaro savait très bien que Kimura avait bien et bel vue la scène sur ses entre-faits. Poussant violement le Prince, le Trésor blond penetra dans le salon.

Reste là. Je crois que tu as des choses à me dire non ?

En effet, il avait des choses à lui dire mais pas dans ces cironstances là. Sho était bien trop énervé et Okamoto savait pertinement combien son ami pouvait être têtut lorsqu'il est hors de lui. Le claquement violent de la porte fit sursauter le jeune Okamoto. La moindre parcelle de violence de Kimura lui faisait trembler. Combien de fois il avait vue devant lui tomber des hommes plus baraqués que son ami qui les avaient tous assomer et frapper jusqu'au sang. Voyant que ce dernier s'approchait de lui, il recula tout doucement mais fut rattraper vite fait par Kimura qui arriva à sa hauteur et jeta un regard foudroyant. Opter pour se taire et agir paraisser une suite logique pour le Takara Okamoto, et donc alla s'emparer de la taille du blond afin de calmer la brute qu'était devenu Shohei. Cependant, ce dernier ne fut pas du même avis que le Prince et attrapa avec violence les épaules de celui-ci le plaquant contre le mur avec force. Prit de court pas ce geste qui coupa la respiration de Yutaro, Shohei ne bougeait pas mais exprimait par ses yeux noirs de haine toute la colère qu'il avait accumuler. Le jeune Okamoto savait qu'il ne pourrait le raisonner.

A quoi tu joues là ? Tu crois que je ne sais pas ce qu’il c’est passer il y moins de 5 minutes dans cette pièce ! Tu me dégoute Yutaro, ne crois pas que tu sois le plus puissant de nous 6 !

Après cela, il ressera de plus en plus sa pression sur les frêles épaules du Rokou Takara Yutaro jusqu'à lui broyer les os. Il ne jouait ni à rien du tout ni ne se disait pas le plus fort des T6, c'était juste que Kimura avait vue la scène sous un autre angle que la vérité. Hélas, il fallait que tout se passe mal. Voyant que son ami trépignait d'impatience de savoir ce qui c'était passé, Yutaro tenta d'attraper la veste de Shohei mais n'y parvient pas car ce dernier attrapa les poignets du jeune Okamoto pour avoir le même sort que ses épaules. Sa voix se fit faible mais parvint tout de êmettre quelques sons.

Shohei ... Ça sert à rien de me tenir comme ça ... En plus j'ai mal ... Tu me fais mal ... Il s'est rien passé avec Yuriko ... Alors lâche moi

Quelques « itte » pouvait se faire encore entendre lorsque Shohei decida de resserer davantages ses mains sur les poignets du plus petit. La rage du Takara Kimura s'était beaucoup trop accumulé pour que Yutaro ne dise quoique se soit. Neanmoins, le Prince ne s'avouait guère vaincu et tanté bien que mal de se retirer de là. Se debattant de plus en plus le jeune Okamoto s'enerva et cria se qui déchira la pièce comme on pourrait déchier une feuille de papier.

J'AI MAL !!

Aux plaintes insesantes de Yutaro, Shohei le jetta contre une table qui se brisa sous le poid du Trésor Okamoto. Ce dernier se tortilla doucement afin d'exprimer son mauvais atrerrisage. Comment Kimura, son ami, avait il put l'evoyer non pas dans les roses mais contre la table? Secouant péniblement la tête, il aperçût le blond s'avancer de nouveau vers lui pour attraper son col s'asseyant sur son Prince. Ce dernier riposta et le poussa. Inversant les rôles, Yutaro se plaça sur Shohei et le gifla sous le pretexte de lui « remettre les idées ». Son regard noirs se fit de plus perçant envers Kimura et il lui cracha ces mots :

Pour une fille tu oserais me frapper, me broyer les os?! Mais pour qui tu te prends?! T'es pas le caïd d'accord?! Si pour une fille tu me frappe, qu'est-ce qu'il se passera si je fais autre chose contre MONSIEUR?! Tu me tueras c'est ça?!

Yutaro plaqua son vis-à-vis sur le sol et prit son elant afin de le coigner par simple rage et dégout. Son ami le dégoûtait. Jamais le Prince ne lui avait manqué de respect et par ce ridicule dérapage malorchestré avec la Missy Yuriko Shohei venait s'enervé contre le jeune Okamoto. Le blond arrêta le poing du plus petit et le fit pivoter à son tour contre le sol.

Cependant le Trésor Yutaro ne lâchait pas son regard de celui de Shohei. Pourquoi fallait il maintenant que tout les deux en viennent aux poings? Puis, aussi violement que furtivement, le Prince attrapa le pendentif du blond le forçant à approcher son visage du sien. Laissant une infime distance entre leurs visages, le Takara Okamoto déclara :

Si tu crois que j'ai peur tu peux toujours courir. Pour ma part je n'ai rien a ajouter, si tu penses que je t'ai trahi c'est pas mon problème. Pense ce que tu veux. J'en ai marre de me justifier. Tu n'avais qu'à pas ouvrir la porte point final.

En effet, le Takara Yutaro semblait extenué de toujours justifier ses gestes. Après tout, Shohei pouvait croire ce qu'il désirait croire. Si se torturer l'esprit lui faisait du bien, Yutaro le laisserait cette joie qui plus est masochiste. Le jeune Okamoto ne parvint pas à s'extirper du corps du blond mais lâcha le pendentif soupira d'agacement. Laissant cette dernière phrase traverser la barrière de ses lèvres.

Je plains Yuriko des fois. Elle n'a pas de chance de t'avoir. Quoique, je ne sais même pas si vous êtes réellement ensemble. Si vous l'êtes, je lui souhaite bien du courage à te supporter. Je suis moins compliqué 'faut dire.

Qu’avait-il en tête ? Ou était passé ses mots qui avaient tant persuadé le Trésor Kimura à le faire rester auprès de Hina ? Ceci aussi avait été jeu ? Shohei ne pouvait pas l’accepter. Non, il ne pouvait pas accepter que Yuta se joue de lui et de la douce Missy également. Pourquoi faisait-il cela ? Lui qui disait tant les aimer, au point qu’il en donnerait sa propre vie. Le Trésor Kimura avait du mal à comprendre, où peut être ne comprenait-il que ce qu’il voulait comprendre ? Les yeux furieux de Sho se changèrent en furie curieuse. Fusillant le Prince, il voulait savoir ce qu’il s’était passé ici. C’était-il tromper ? Un accident ? Impossible, Yutaro était bien du genre à s’allonger sur n’importe qui juste pour le déstabiliser.

Ses mains resserrèrent sa prise. Si fort que Yutaro tenta de nouveau un geste. DCette fois -ci il visa la veste de son ainé, mais Shohei ne l’entendit pas de cette oreille et attrapa ses poignets avec la même violence que son geste précédent. « Ne me touche pas, tu me DEGOUTE » Il repensa à cet instant aux paroles qu’il avait prononcé à l’égard du jeune Okamoto lors de leur confrontation. Es ce qu’ils revivraient la même chose se jour là ?

« Shohei ... Ça sert à rien de me tenir comme ça ... En plus j'ai mal ... Tu me fais mal ... Il s'est rien passé avec Yuriko ... Alors lâche moi »

Cette voix. Il ne la supportait plus. Pourquoi Yutaro n’était-il donc qu’un faible ? Ite, Ite, Ite, ses mots se rédimaient qu’à cela. Ce qui eut d’ailleurs l’effet contraire à ses désir, car Shohei resserra encore et encore ses poignets. Il avait mal, il voulait qu’il souffre comme lui. Et de plus, il n’avalerait pas ses mots.

« J'AI MAL !! »

Les flammes s’emparèrent du corps du jeune Kimura. Qu’il cesse de se plaindre et qu’il agisse ! Ce que faisait Shohei n’avait rien de douloureux. Il n’avait cas ne pas être qu’une petite femmellette. Et il ne savait pas se que douleur signifiait. C’est alors que prit d’une terrible et furieuse envie, le Takara blond propulsa son plus jeune sur une table qui se brisa à l’atterrissage du Prince sur elle. La petite mauviette se tortilla de douleur afin d’exprimer son mauvais atterrissage. Mais ce geste n’affecta même pas le Trésor Kimura. S’avançant vers lui et l’attrapant par le col, il le regarda air furieux. Mais le Prince riposta et le poussa. Inversant les rôles, Yutaro se plaça au dessus de Kimura et le gifla. Surpris de cet acte, les yeux de Sho s’écarquillèrent de stupeur. De plus, le regard de Yuta Prince était devenu repoussant, noir de haine. Il pourrait presque faire peur.

« Pour une fille tu oserais me frapper, me broyer les os?! Mais pour qui tu te prends?! T'es pas le caïd d'accord?! Si pour une fille tu me frappe, qu'est-ce qu'il se passera si je fais autre chose contre MONSIEUR?! Tu me tueras c'est ça?! »

Yutaro plaqua le Trésor sur le sol et prit son élan afin de le cogner. Ceci était la première fois que le jeune Okamoto manquait de respect à son ami. A un tel point que le reflex de Sho fut plus rapide que le coup portant du petit Yuta. D’un seul geste, il arrêta son coup et le fit pivoter de nouveau afin qu’il se retrouve sous lui. Comment pouvait-il en arriver là ? Eux qui étaient devenu si proche, allaient-ils tous casser maintenant ?

Le regard de Yutaro persistait, ne lâchant pas celui du Takara Kimura. Attrapant d’un geste sec et violent le pendentif du blond, il le rapprocha, brisant toute distance, son visage du sien. Leurs yeux étaient aussi noirs chez l’un que chez l’autre. Jamais ils n’avaient eut un tel échange depuis leur amitié. Cela faisait presque peur à Shohei, il avait peur à cet instant… de le perdre à jamais.

« Si tu crois que j'ai peur tu peux toujours courir. Pour ma part je n'ai rien a ajouter, si tu penses que je t'ai trahi c'est pas mon problème. Pense ce que tu veux. J'en ai marre de me justifier. Tu n'avais qu'à pas ouvrir la porte point final. »

Ne pas ouvrir la porte ? Maintenant il n’avait plus le droit d’aller là où il désirait se rendre ? C’était le pompon, la cerise sur le gâteau. Yutaro faisait le fière, se prenait pour le tout puissant, mais qu’était-il en réalité ? Rien face à Shohei. Lui donner des ordres ne règlerait rien face à un Kimura, aussi têtue que la famille le signifie. Un Kimura dans son idée, se voile la face et ne cherche pas à comprendre le vrai du faux, croyant que la seul vérité est la sienne.

Yutaro soupira d’agacement, lâchant le pendentif de Shohei. Il ne savait pourquoi, mais il sentait que les dernières paroles du Prince allait confirmer leur séparation. Derrière ses prochaines paroles, leur amitié volerait en mille éclats.

« Je plains Yuriko des fois. Elle n'a pas de chance de t'avoir. Quoique, je ne sais même pas si vous êtes réellement ensemble. Si vous l'êtes, je lui souhaite bien du courage à te supporter. Je suis moins compliqué 'faut dire. »

Moins compliqué ? Si Shohei n’était pas aussi colérique et enflammer, il lui aurait rigolé à la figure. Qu’es ce que Yutaro Okamoto connaissait du Trésor Kimura Shohei ? Rien, strictement rien. Shohei ne s’était jamais confié à lui et encore moi Yutaro ne l’avait fait. Seulement pour l’histoire de Hina, mais Sho ne connaissait ni le passé du Prince et encore moins son présent actuel. Que devait-il lui rendre ? Une confirmation comme quoi il était moins compliqué que lui ? Contrairement à ce qu’il est, Shohei lui, exprime se qu’il ressent, montre qu’il aime les gens qui l’entourent. Protège tout ce qui lui est chère. Contrairement à Yutaro qui joue avec tout se qu’il trouve.

Un point violent vient s’écraser sur le sol, du cotés droit du visage du jeune Okamoto. Ce manque de respect ne lui était pas permis, même en tant que Rokou Takara il se devait de se respecter entre eux. Et pourtant, se qu’ils faisaient là était tout le contraire. Mais où allaient-ils ainsi ?

Le regard noir de Shohei ne se détachait pas de celui du Prince. Que croyait-il ? Que le grand Kimura Shohei craquerait une nouvelle fois ? S’il devrait le frapper, il le ferrait, sans se retenir. Il pourrait lui briser tous les os, autant qu’il en avait brisé à Ten, il s’en moquait. Yutaro n’était qu’un être repoussant et méritait de la remise à l’ordre.

« Moins compliqué ? Laisse-moi rire. Que connais-tu de moi ? Hein ? Rien, absolument rien. Contrairement à toi, moi je ne pense pas qu’à ma petite personne, je me soucie également de mon entourage. Chose que toi tu ne connais pas. »

Le poing qui se tenait près du visage du Prince s’enfonçait dans le plancher. Il fallait que le trésor évacue sa rage, mais ne pas la laisser s’échapper sur le corps de Yuta. Même si il le voulait, la simple vision de son visage le retenait. Car il l’aimait ? Il ne voulait simplement pas être séparé de lui. Il était une source de chaleur dans son cœur.

« Moi il y a bien une personne que je plains en ce moment. Cette pauvre Hina doit être entrain de pleuré toutes les larmes de son corps dans un coin sombre. Cela ne te fait donc aucun effet ? Pourquoi ne lui à tu pas couru après ? Tu aurais très bien put me pousser et partir, je ne t’aurai pas retenu. »

Le corps de Sho se décontracta, il semblait retrouver sa sérénité, son calme. Après tout, s’énerver ne résous jamais les problèmes.

« Je ne pense pas que Yuriko m’appartienne, néanmoins se que j’ai vue, coment veux tu que je l’interprète ? cela ne peut me mettre que hors de moi. Tu sais à quel point je suis têtu, mais si tu à une version différentes de la mienne vas-si je t’écoute »

Après ses propos coupants, Yutaro réfléchit quelques instants à ce qu'il avait dit. Parfois les mots sortaient de sa bouche plus vite que sa pensée, et, ne pouvant ainsi controler ses faits, il se retrouvait toujours à culpabiliser. Cependant, maintenant le Prince n'allait pas revenir sur ces paroles. Il l'avait dit, point final. Il faut dire que la rage l'en empêcher de dire quoique se soit qui lui faisait retourner au stade du «gentil petit Yuta, pleurant pour un rien». Non, cette fois il ne laisserait pas Shohei briser son image. Encore une fois.

Un grand fracas à côté du pensif se fit entendre. Le poing du blond; qui était sur lui depuis assez longtemps, avait exorsisé en quelques sortes ses mauvais démons sur le pauvre plancher. Après tout, c'était mieux pour le jeune Okamoto de ne guère se froisser par le coup qu'aurait pu porter Kimura au visage fins et porcelaine du Prince. Il était donc si enervé après lui ...

Le regard de plus en plus profond et félin de son «ami» Sho se faisait de plus en plus colérique, rageux dans celui du plus petit. Il ne faisait donc que semer la zizanie autour de lui? Rien ne pourrais donc merveilleusement bien marcher pour lui? Yutaro se haïssait d'être un si grand faiseur de trouble comme cela. Rien ne lui obligé, mais quelque chose, d'enfouis certes mais pas assez pour qu'il ne l'oublis, c'était errigé en lui et l'obligé bien trop souvent d'agir de travers.

C'est vrai. Le Trésor Okamoto aurait très bien pu éviter cette discussion comme lui avait demandé gentiment sa très chère Hina. Ainsi il n'aurait pas été jusqu'à frappé son ami avec qui il aurait très bien pu échanger pleins de chose. Mais malheureusement, le Takara avait mit fin à tout échange en enervant Kimura. D'ailleurs, sa voix se fit entendre. Rien de très rassurant en y entendant l'intonnation.

Moins compliqué ? Laisse-moi rire. Que connais-tu de moi ? Hein ? Rien, absolument rien. Contrairement à toi, moi je ne pense pas qu’à ma petite personne, je me soucie également de mon entourage. Chose que toi tu ne connais pas.

En effet, Yutaro Okamoto ne savait absolument rien de Shohei Kimura. Mise à part que question famille ce n'était pas du tout cela ainsi il avait emménagé chez le Prince, mais aussi le fait qu'il aime eperdumment la Missy Yuriko et qu'il en damnerait même son âme. A part cela, rien. Il ne savait rien.

Deuxième chose réelle mais poignardante : se soucier de son entourage. Le Rokou Takara Okamoto l'avait il fait ne serait-ce qu'une seule fois? Eh bien non. Honteux, il voila ses yeux. Jamais il ne s'était soucier de son entourage. Par contre, s'occuper de sa petite personne, ça il en était le roi. Yutaro avait toujours vécu ainsi, changer maintenant serait difficile, inapte pour lui. Bien sûr pour certains, changer ce minime détail n'ai rien du tout, seulement c'était Okamoto Yutaro. S'enfonçant mentalement dans ses réflexions, il ne percevait plus les yeux de Kimura ne cherchant même pas à reprendre leur échange, lui faisant juste paraitre que le Prince ne décrochait pas son regard était la seule idée qui avait traversée l'esprit de ce dernier.

Moi il y a bien une personne que je plains en ce moment. Cette pauvre Hina doit être entrain de pleuré toutes les larmes de son corps dans un coin sombre. Cela ne te fait donc aucun effet ? Pourquoi ne lui à tu pas couru après ? Tu aurais très bien put me pousser et partir, je ne t’aurai pas retenu.

Hina ... La seule personne qu'il avait réussi a avoir rien que pour lui ne faisait que souffrir. Yutaro apparaissait comme un enfant, haut comme trois pommes, voulant faire toujours bien pour le confort de son premier amour. Dévoiler qu'il l'aimait lui semblait stupide, enfantin, mais c'est ce qu'il était. Un enfant. Rien de plus. Parfois il se maudissait d'être dans la peu d'un malade comme lui. Se nourrissait il du malheur des autres, de la souffrance de ses proches tel le Minautore que ne se nourrisait que des humains mort de peur devant lui.

S'il pouvait s'exiler, ne serait-ce que l'ombre d'une fraction de seconde, Hina irait mieux, Shohei serait moins colérique et non avec de l'hyper-tension à chaque contact de Yutaro. Le Prince avait manqué de respect à tout ceux qui lui avait tendu la main. Eux qui lui avait laissé une deuxième chance commr on n'en avait jamais eu le droit.

Je ne pense pas que Yuriko m’appartienne, néanmoins se que j’ai vue, coment veux tu que je l’interprète ? cela ne peut me mettre que hors de moi. Tu sais à quel point je suis têtu, mais si tu à une version différentes de la mienne vas-si je t’écoute.

À ces mots, Yutaro souria en coin mais avec toujours ce faux sourire. Rien ne pouvait parraitre sur son visage. Visage de porcelaine, ne laissant rien deviner. A présent, il ne voulait plus qu'on entre dans sa vrai personnalité. Fermée à double tour, jetant la clé dans l'eau des oublies, le jeune Okamoto s'était refermé de nouveau. Cependant il ne manqua pas de briser le silence qui ne tardait pas à s'installer dans la pièce et notament entre les deux jeunes garçons.

Tu n'écoutes vraiment pas. Je t'ai dis que je n'ai plus à me justifier. Cependant tu peux aller voir ta Chérie Yuriko et lui demander des explications. J'ai le don de tout déformer alors qu'elle non. Une différence. Maintenant pousse toi de là.

Maintant ses ordres à éxecution, le Takara Yutaro, une fois libre, allat s'installer plus loin, boittant légérement dû au voltige vers la table, sur le canapé regardant le table cassée. Jamais Shohei ne s'était montré aussi violent envers lui. Il avait pourtant juré qu'il ne porterait jamais la main sur lui. Toute fois, le proverbe avait raison. Ne jamais dire jamais. Kimura l'avait broyé les os, balancé sur une table et avait faillit le frappé mais s'était tout de même retenu.

Ne crois pas que je ne pense pas Hina, demo ... T'expliquer les choses était une première nécessité mais en vain. Pars de ce salon, va rejoindre Yuriko. À l'heure qu'il ai elle doit s'inquiétter de son sort que tu lui réserve. Écoute là c'est tout.

Et quand est il d'Hina? Le Prince ne suporterait pas de voir son jolie minoi tâché d'infecte larmes causées par toujours une seule et même personne : lui. Celui-ci ramena ses jambes vers son torse et maintena son menton par ses genoux. Qu'il pouvait autant se haïr qu'il ne pouvait s'aimer.

Car oui, Shohei avait bien raison. Le Trésor Okamoto et ne se le cachait aucunement ne trouvant pas la raison pourquoi il ne l'affirmerait pas. Mais s'aimer soit même peut pousser à l'excés. Et en plus de cela, Yutaro était d'une nature à n'écouter que lui.

Tellement était il perdu dans ses pensées qu'il n'entendit pas Kimura s'assoir à côter de lui. Seul les bruit incessants des deux pendentifs de son vis-à-vis avait eveillé son esprit. Soudain, sans attendre aucun soupçon de parole de la part de Shohei, le jeune Okamoto attrapa le collier et tira si fort qu'il se cassa. Tout l'agaçait. Ces bruits, la préscence de Sho, leur dispute. Tout. Tellement qu'il en devenait paradoxale. Fronçant les sourcils et s'approchant de Kimura avant de frapper de façon succesive le torse de son interlocuteur.

Tu n'es qu'un idiot! Tu ne me frappes jamais! Mais je vaux des claques, des gifles, des coups de poings TOUT et toi tu ne fait rien! Mais tu es bête ou quoi?! Frappe au moins! Je vous ai tous manqué de respect et toi tu ne fait plus rien! Tu étais bien partit pour me frapper nan?! Alors frappe! Qu'est-ce qui t'en empêche?!

Cette scène pourrait très bien illustrer la folie qui hantait Yutaro. Rien ne se percevait mais ces gestes voulait tellement en dire. Frapper. C'était tout ce qu'il voulait. Qu'on le frappe. Jamais il n'aurait demandé cela. Son état de pure délire pourrait bien faire peur ou inquiété plus d'un. Seulement le Takara n'arrivait pas à décrire ce que ressenter son vis-à-vis. Ses yeux lui échappaient. La folie en rôle, on ne peut rien voir que le délire en lui-même. C'était, pour lui, de se faire « pardonner » auprès de tout ceux qu'il avait blessé. Hina ...

FRAPPE SI T'ES UN HOMME !!

Shohei observait le sourire en coin qui s’afficha sur le visage du Prince. Ce sourire faux, ce sourire qui l’énervait. Qu’espérait-il ? Un Kimura n’est pas du genre à réfléchir avant de foncé et regrettait souvent ses actes, mais ceci ne le savait-il pas déjà ? N’était-il pas censé savoir au moins cela sur son soit disant « ami » ?

Le visage du garçon Okamoto ne laissait rien paraître. Pas la moindre lueur d’une quelle conque émotion. Sa froideur et son hostilité avait refait surface devant le Trésor Kimura. Ce qui déstabilisa quelque peu se dernier face à cet évènement.

« Tu n'écoutes vraiment pas. Je t'ai dis que je n'ai plus à me justifier. Cependant tu peux aller voir ta Chérie Yuriko et lui demander des explications. J'ai le don de tout déformer alors qu'elle non. Une différence. Maintenant pousse toi de là. »

Shohei s’exécuta face au regard tueur de son ami. Jamais le Takara Kimura n’avait affirmé que Yutaro déformait ses propos. D’où sortait-il se préjuger ? Sho ne comprenait pas ces mots sortit tout droit de sa bouche.

Une fois libre, le Prince s’éloigna, s’installant plus loin. Mettant de la distance entre eux. Shohei put également apercevoir que le jeune boitait, certainement du au voltige jusqu'à la table. Se posant sur le canapé, il détourna son regard. Jamais le Takara Okamoto ne s’était montré ainsi avec lui. Après tout, Shohei n’avait jamais osé lever la main sur lui et il l’avait fait à cet instant. Lui qui s’était jurer de ne jamais lui faire du mal, il venait de le briser en mille morceaux. Et il finirait, comme toutes les fois, par regretter ses gestes.

Il fixait Yutaro, qui ne le regardait toujours pas. Il aurait voulu que les choses prennent une autre tournure mais il venait de ce laisser emporté par ses émotions, sans même laissez les explications de Yuta s’exprimer.

« Ne crois pas que je ne pense pas Hina, demo ... T'expliquer les choses était une première nécessité mais en vain. Pars de ce salon, va rejoindre Yuriko. À l'heure qu'il ai elle doit s'inquiétter de son sort que tu lui réserve. Écoute là c'est tout. »

Une fois de plus, le Prince lui donnait un ordre. Pourquoi s’obstinait-il à devoir être le plus fort ? Shohei n’appréciait guère ce comportement, mais lui, essayait en vain de le faire comprendre au jeune Okamoto.

Hina. S’il pensait à elle comme il le disait, il ne serait pas là à s’attarder sur leurs sort à tout les deux mais bien entrain de la chercher dans tout Tokyo Gakuen. Mensonge ? Supercherie ? Shohei ne pouvait le savoir, mais Yutaro commençait à ancrer le doute dans les pensées de Kimura.

Le Prince ramena ses jambes vers son torse, maintenant son menton par ses genoux. A la vue de son corps frêles dans cette position, Sho ressentit un sentiment de tristesse et ne put se retenir de se poser à ses cotés. Le collier du jeune Kimura émettait un léger bruit fin, qui sortit le jeune Okamoto de ses pensées. Puis, sans même que Shohei n’eut le temps de sortir un mot de sa bouche, le plus jeune attrapa violement le pendentif de son ainé et tira si fort qu’il se brisa.

Shohei ne comprit pas pourquoi Okamoto venait de faire cela. Néanmoins, il n’apprécia ce geste déplacé. Jamais lui n’avait brisé un cadeau cher à ses yeux. Fronçant les sourcils, Yuta s’approcha de son ainé avant de frapper de façon successive le torse de son interlocuteur.

« Tu n'es qu'un idiot! Tu ne me frappes jamais! Mais je vaux des claques, des gifles, des coups de poings TOUT et toi tu ne fait rien! Mais tu es bête ou quoi?! Frappe au moins! Je vous ai tous manqué de respect et toi tu ne fait plus rien! Tu étais bien partit pour me frapper nan?! Alors frappe! Qu'est-ce qui t'en empêche?! »

Le visage du Trésor Kimura afficha un air surpris. Yutaro devenait masochiste ? Un frisson parcourut le corps du Trésor. Le prince et son rôle de sadique lui allait à merveille mais de là à vouloir s’infliger également une souffrance à soit même…

Pourquoi il ne le frappait jamais ? Car il ressentait le besoin de le protéger, de tisser ses liens qu’il ne voudrait avoir qu’avec lui. Une amitié profonde, si unique, que personne ne pourrait imiter. Voilà ce qu’il cherchait en Yuta. Un meilleur ami et encore plus fort que cela.

« FRAPPE SI T'ES UN HOMME !! »

A cet instant, le jeune Okamoto attrapa le Trésor et le poussa violement contre le sol. La tête de Shohei se heurta violement contre ce dernier, l’assomment quelque peu, le sortant de ses pensées. Ce choc, le changea complètement. Il avait eut l’impression que Yutaro venait de le frapper alors que ceci n’était sans doute qu’un accident. Mais son instinct de vengeance fut plus forte que sa raison et il l’éjecta contre le canapé, l’attrapant par le col.

« Je ne suis pas horrible au point que tu brise mon pendentif, ainsi que tu me frappe. Si c’est se que tu veux alors je vais te mettre une correction !! »

En fin de phrase, son point alla rejoindre le bas ventre de Yutaro, puis en une gifle, sa joue. Le Prince se tortillait de douleur, car évidemment, Shohei n’avait retenu en aucun cas sa force et avait frappé comme s’il ne le connaissait pas. Jamais, jamais il n’avait envisagé une telle fin. Tout ceci devenait complètement ridicule, mais pourquoi continuait-il a frapper, à vouloir lui faire mal ? Car il voulait atténuer sa souffrance.

Les larmes coulant le long de ses joues, il frappait encore et encore le corps de Yuta sans savoir ce qu’il faisait réellement. Si Yutaro ne réagissait pas, il allait le tuer.

« MEURT !!!!! »

Après le cris perçant du Prince, instinctivement il jetta Shohei hors du canapé et, par son grand malheur, sa tête vint heurter violement le sol froid. Par une grand inquiétude Yutaro ecarquilla les yeux et se dirigea vers Kimura lorsque celui le regarda de ses grands yeux noirs remplit de haine. Il l'ejecta alors du canapé et l'attrapa par le col. Le jeune Okamoto ne put plus rien faire, le blond était dans une colère furieuse comme une tempête. Et, par pure instinct, il ferma les yeux.

Je ne suis pas horrible au point que tu brise mon pendentif, ainsi que tu me frappe. Si c’est se que tu veux alors je vais te mettre une correction !!

Frapper? Le jeune Okamoto ecarquilla les yeux de nouveau vers Shohei. S'il voulait parler des frappes successive sur le torse ce n'était que des frappes de «fillette», rien de mal. À moins qu'il voulais parler du coup sur la tête. Mais cela n'était du qu'à sa chute et qu'il avait heurté assez violement le sol, en aucun cas ce n'était la faut de Yutaro. Néanmoins, ce dernier n'eu guère le temps de riposter que le Takara Kimura avait déjà attaqué le bas ventre et la joue du Prince. Après tout c'était ce qu'il lui avait commandé précédement.

Seulement, le Trésor Okamoto pensait que le blond serait moins brutal avec lui. C'est vrai, jamais il n'avait reçut de coups porté par son « ami » alors il n'était pas prêt d'être habitué à cela. Les coups que lui donné Kimura n'en finissait pas et se faisait de plus en plus présents ce qui fit tortiller de douleur le jeune Okamoto. Croisant le regard du blond, il put apercevoir une larme couler sur sa joue, puis la floppée de larmes incessantes, irritantes ... Yutaro ne pouvait voire ces yeux s'humidifier, ce regard pourtant dur. En réalité Shohei était un grand cœur qu'il cachait par ses poings...

Le Prince se laissait frapper lorsqu'une phrase, un hurlement en provenance des lèvres du plus grand déchira la pièce:

MEURT !!!!!

Ouvrant en grand les yeux d'hétonement, le jeune Okamoto attrapa les deux poings qui ne cesserait sans doute pas de frapper son corps. Il n'en revenait pas ce qu'avait dit Kimura, de ce qu'avait oser dire ce Takara. Pourquoi? Les yeux du Trésor Yutaro restèrent voiler. Rien ne paraissait, alors qu'avant, il aurait versé mille et une larme rien que par ce mot.

Shohei avait été vraiment trop loin. Toute leur amitié allait-elle s'éteindre alors que tout ne faisait que de commencer? Il lui tournait vulgairement le dos face à l'appel à l'aide du jeune Okamato. Apparement tout cela paraisait sourd. Baissant les yeux, il poussa violement Kimura et se leva mais tomba aussi rapidement ne pouvant suporter d'avantage les coups bien trop fort pour le corps frêle de Yutaro. Soudain, sa voix tremblante refit surface et tournant le dos, il réussi a articuler.

Toi et moi avons tout gâché. Mais plutôt moi en partit n'est-ce pas? Me frapper comme ça j'espère que ça t'as divertie ...

En effet, tout venait certainement de se finir. Tout s'était brisé, en un éclat. L'air de rien, le Rokou Takara Okamoto sentit comme une boule dans l'estomac. Tout lui résonnait en tête ... Le passé. Dans cette même pièce était né leur rapprochement. Combien de fois Shohei avait prit Yutaro dans ses bras rien que pour le sentir près de lui, rien que pour savoir qu'il était? Combien de fois Yutaro lui avait ouvert son cœur, s'était ouvert aveuglement au blond? Combien de fois lui avait-il dit qu'il comptait beaucoup pour lui ...

Mais dans cette même pièce, en ce jour, tout avait prit fin. Quelques semaines. De ridicules semaines tout cela avait tenu. Shohei et lui n'avait plus rien d'amis maintenant. Le jeune Okamoto ne reviendrait pas sur ses pas, ne se retournera pas pour voir le visage de Kimura. Il ne le vera plus.

Puis, voyant que les mots n'était plus là, le Takara Okamoto s'allongea de nouveau sur le canapé fixant un point du plafond et réflechissant. Réfléchissant à ce stupide dérapage. Si cela c'était passé sans embûches, rien de tout ça ne se serait passé. Yutaro aurait toujours eu son Shohei. En rire maintenant serait malheureux.

Le Takara Yutaro ne trouvait plus les mots pour parler, rien ne passait. C'était comme s'il avait perdu la notion de parler. Perdre la parole par une simple personne. Tout son corps lui faisait mal, jusqu'à sa tête. Plus rien ne passait. Tous les coups du blond l'avait détruit peu à peu. Le Trésor Kimura avait frappé son ancien ami comme s'il cherchait à tuer ses vieux démons. Tout devait disparaitre. Peut être même Yutaro.

Voyant que cette pensée lui faisait encore plus souffrir, il ferma les yeux et pivota sa tête vers Kimura qui s'était tout de même levé, regardant fixement le Prince allongeait presque agonisant. C'est alors que la parole lui était revenu, comme par magie afin de retorquer à son agresseur.

Qu'est-ce qui y'a? Tu n'es pas content parce que je ne meurs pas tout de suite?

Puis, après cette phrase, il tourna afin de se mettre dos à Shohei, grimaçant de douleur. A vrai dire, rien n'était plus que la douleur mental. On ne peut guère la réparer seul. Nous avons toujours besoin de quelqu'un seulement, Yutaro ne savait sur qui se tourner pour reposer sa tête sur son épaule mais maintenant qui avait il?

Si tu veux je peux mourir tout de suite histoire que tu es un poid en moins, que tu sois content.

Le Takara sentit que le Takara Kimura avançait vers son corps immobile. Cependant, il fut plus rapide et se leva de son canapé afin de se mettre un peu plus. Le jeune Okamoto ne voulait plus que le blond l'approche, le touche comme l'avait aussi dit Shohei lors de leur dernière dispute. Une petite dispite contrairement à celle là.

Ne sachant quoi faire, le Prince s'effrondra par terre. La douleur se faisait de plus en plus constante. Il ne suportait plus ces coups, surtout qu'il savait que ces coups ne venait pas de n'importe qui. Shohei Kimura. Cette personne en qui il avait cru qui ne lui ferait jamais de mal. L'erreur est humaine. Plus rien ne passerait. Ses yeux ne refletaient plus rien, comme s'ils étaient éteinds. Pour dire vrai, Yutaro ne voulait plus que le plus grand le lise comme un livre ouvert. À présent, il restera fermé.

Je te hais Kimura.

Shohei avait sortit ce mot à l’état blessant et violant, sans vraiment le pensé. La colère le rendait complètement aveugle et il ne voulait qu’une chose, évacuer sa souffrance par n’importe quel moyen. A cet instant même, sous lui, ce n’était pas Yutaro. Il ne le voyait plus, le reconnaissait plus. Et si le jeune Okamoto ne stoppait pas ses poings destructeurs, il mourrait aujourd’hui et dans les 5 minutes suivantes, dans cette pièce.

Puis, le Prince, attrapa les deux poings du Garçon, le stoppant dans son activité. Shohei fut interloqué et se rendit compte de l’acte qui venait de se produire. Il venait de frapper Yutaro, chose qui s’était juré ne jamais établir. Ses yeux s’embrumèrent. A cet instant, tout venait de se briser. Leur amitié, venait de s’envoler.

Yuta baissa les yeux, puis poussa violement le garçon Kimura, se levant mais retombant face à la faiblesse de son corps. Shohei le regarda, honteux. Il n’avait certainement pas du retenir ses coups face à la faiblesse et la douleur que Yutaro laissait concevoir à travers ses geste. La voix tremblante du Takara Okamoto fit frissonner le jeune Kimura.

« Toi et moi avons tout gâché. Mais plutôt moi en partit n'est-ce pas? Me frapper comme ça j'espère que ça t'as divertie ... »

Comme le Trésor Kimura, Okamoto pensait la même chose. Tout s’était évaporé. La douceur de Shohei avait laissé place à la violence et les larmes de Yutaro par de la glace incassable. Tout deux avait réussir à tenir simplement quelques semaines d’amitié. Des semaines pourtant si agréable pour le Trésor Shohei. Pourquoi en arriver ici ? Tout cela à cause d’une simple fille. L’amitié n’est-il pas plus fort que l’amour ? Tout ces préjuger devenait maintenant faux aux yeux du Takara. Car cette fois-ci, Shohei avait choisi l’amour à la place de son ami. Il avait presque été jusqu'à lui ôter la vie.

Le Trésor sentit une larme coulé le long de sa joue. Depuis son début d’amitier avec Okamoto, jamais Shohei n’avait versé une quelle conque larme. Il ne s’exprimait que par sa violence. Mais depuis quelques semaines, ses larmes coulaient, même s’il ne le voulait, le vase versait. Laissant rouler ses perles cristallisée sur ses joues. Pourquoi ? Pourquoi en un simple touché le Prince avait changé le Trésor ?

Shohei n’avait réfléchit en rien. N’avait jamais compté toute les fois où Yutaro lui avait dit qu’il tenait à lui. Ne pensant qu’à lui seul, à ses propres contrainte, ne voyant celle de son ami. Il regrettait, tous ces gestes, tous ses coups. Pourquoi ? Pourquoi n’avait-il pensé qu’à évacuer sa souffrance, alors qu’il ne venait qu’augmenter celle de Yuta ?

Le silence avait prit place dans la pièce. Aucun deux ne parlait, ne se regardait. Allongé sur le canapé, fixant le plafond, Yutaro semblait épuiser, pensif. Shohei ne pouvait plus parler, pensant que chacun de ses mots blesserait encore et encore son Prince. Avait-il un espoir ? Pouvait-il encore le garder ? Même si vœux deviendrait réalité, ce même scénario se reproduirait. Tel était ainsi lorsque le Takara Kimura était impliqué. Il s’attache, fonce sans regarder, brise tout les liens et tout reviens. Il pouvait analyser chacune de ses relations, toutes ce déroulaient de la même façon. Pathétique, mais pourtant si vrai.

Le Trésor se leva, remarquant que Yuta pivotait la tête en sa direction. Tout deux se fixait. Le Prince allonger agonisait presque, ce tordant de douleur. Les yeux de Shohei se voilèrent. Pourquoi avait-il fait cela ? Il n’arrivait pas à saisir ses actes, pourquoi agissait-il ainsi ? Il se maudissait. Il n’avait jamais comprit pourquoi un être comme lui avait vue la lumière du jour.

« Qu'est-ce qui y'a? Tu n'es pas content parce que je ne meurs pas tout de suite? »

Une nouvelle fois, son cœur se serra. La vue du dos de Yuta le faisait souffrir. Jamais il n’aurait voulu que son Prince meure. La colère l’avait simplement emporté, Yutaro ne le connaissait-il donc pas ? Qu’il était incontrôlable dans ses moments là et qu’il ne faisait même plus attention à ses propres paroles ?

« Si tu veux je peux mourir tout de suite histoire que tu es un poid en moins, que tu sois content. »

Shohei avait mal. Entendre le Takara Okamoto lui dire de tel chose le brisait. Il voulait le toucher, le sentir. Il voulait se donner raison et voir que tout ceci n’était pas réel, qu’il ne s’agissait que d’un simple cauchemar. Et pourtant, lorsqu’il s’avança vers se corps qu’il voulait temps avoir entre ses bras, il disparu. Yuta venait de se lever, échappant au toucher du Trésor. Les rôles s’étaient à présent inversés. A partir de maintenant, Yutaro ne désirait plus que Shohei le touche mais ce dernier ne voulait que son pardon.

Soudain, le Prince s’effondra sur le sol. La douleur de coups portant de Kimura devait le broyer, le torturer. A cet instant, Shohei aurait voulu revenir dans le temps. Pouvoir retenir sa violence et tenir sa promesse. Mais lui aussi n’était digne de promesse, car il les brisait une à une.

« Je te hais Kimura. »

Ces mots l’achevèrent. Il sentit une lame traverser sa poitrine et transpercé son cœur. Il ne pouvait bouger. Paralyser devant le corps de Yutaro allongé sur le sol, agonisant. Un cauchemar. Cauchemar. Il aurait t’en voulu se réveiller. Oublier, voir que ceci allait être effacé, que ce n’était qu’un mauvais rêve. Mais il fallait voir les choses en face, affronté ce qui devenait douloureux. Yuta et Sho, devenait du passer. Un fil rouge brisé par la maladresse du Trésor.

Il sentit son corps lourd, mais se força à garder ses jambes dures. Il ne fallait pas qu’il lâche. Même s’il voulait que tout redevienne comme avant, il ne voulait pas rafistoler son erreur, leur lien. Car Yutaro souffrirait une nouvelle fois et il ne voulait pas infliger cette souffrance à son Prince une nouvelle fois.

Il ne bougea pas, fixant Yutaro d’un air de supériorité. S’il lui faisait vraiment mal, alors il ne reviendrait pas. Donc il ne souffrirait plus. Le Trésor Kimura lui, était près à endurer toute la souffrance du monde pour que Yutaro ne souffre plus jamais. Leur séparation, il savait qu’il ne l’endurerait jamais. Mais il n’avait le choix, c’était cela ou ils finiraient tout deux enfermé dans leur propre prison.

Il s’avança alors. Les yeux de Yutaro affichait cette lueur de peur dans ses yeux. Shohei lui se forçait à resté neutre. Rien ne se montrait sur son visage, alors que en lui, il criait à dieu de le stopper.

Il attrapa une nouvelle fois le Prince par le col de son vêtement, le ramenant à son visage. Cette violence, jamais il n’aurait voulu l’exercé dans de tel circonstance.

« Tu peux bien me haïr. Une personne en moins ou en plus qu’es ce que cela peut me faire. Je n’ai pas que toi, à vrai dire je me demande à quoi tu as bien pu me servir. Tu es d’une inutilité… Je ne sais même pas ce que Hitoshi à put te trouver. »

Il porta un nouveau coup sur sa poitrine. Shohei avait mal, si mal. Pourquoi ? Pourquoi faisait-il cela, alors que Yuta était de venue sa seule raison de rester sur terre. Il avait tant besoin de lui, tant besoin de sa présence de ses bras. Mais il devait partir.

Yutaro échappa un petit cri de douleur, qui broya le cœur de Kimura. Le Prince Okamoto était faible. Tel un verre qui se brise au moindre coup. Il était si facile à fissuré, à brisé.

« Comment veux tu que quelqu’un puisse se servir de toi, tu n’es même pas capable de supporté la moindre blessure. Mental comme Physique. Tu es un in-ca-pa-ble O-ka-mo-to »

Puis, il le laissa retomber sur le sol. Il ne le voyait pas, mais le Prince laissait deviner que les larmes étaient proches. Shohei avait fait ce qu’il lui restait à faire. Il n’avait plus qu’à s’en aller. Mais pourquoi ne bougeait-il pas ? Pourquoi restait-il là à regarder le Prince pleuré ?

Plus rien. Tout s’était en allé. L’amitié des deux Takara était partit et puis plus rien. Les deux étaient chacun à l’autre bout de la pièce, n’osant articuler un seul mot. Alors que le Prince restait là, à se tortiller de douleur dans tout les sens, le Trésor Kimura avança vers le corps endolori du jeune Okamoto. Se redressant légèrement émettant un mouvement de recul, la peur en rôle, car oui, Yutaro avait toujours eu peur mais là la peur était plus constante, plus présente. A présent, il savait que Shohei pouvait le ruer de coup sans aucun état d’âme. L’attrapant par le col, le Takara Yutaro regarda dans le blanc des yeux son ancien ami, plus rien ne paraissait sauf cette colère qu’il avait en lui. Il ne reconnaissait plus du tout Shohei, son Sho.

Tu peux bien me haïr. Une personne en moins ou en plus qu’es ce que cela peut me faire. Je n’ai pas que toi, à vrai dire je me demande à quoi tu as bien pu me servir. Tu es d’une inutilité… Je ne sais même pas ce que Hitoshi à put te trouver.

Le cœur du jeune Okamoto lui manqua un battement. Ces mots, ces phrases, ce regard … Tout lui résonnait dans sa tête. « Je ne sais même pas ce que Hitoshi à put te trouver » ; comment pouvait-il dire ça alors qu’il ne savait rien de tout ce qui s’était passé ? « Je me demande à quoi tu as bien pu me servir » ; comment pouvait-il oser parler du Prince ainsi ? Servir à quelque chose ? Il n’était pas du tout un objet ou autre que l’on pouvait utiliser comme bon lui semblait. Et puis ce « je te hais » n’était pas pensé, juste un style de phrase que l’on dit pour renvoyer le « meurs ». Rien de plus. Pourquoi Shohei avait-il les yeux aussi noirs de haine ? Soudain, sans rien comprendre, il reçut un coup dans la poitrine comme pour ne plus faire battre son cœur.

Par ce coup, le Takara émit un faible cri de douleur sa voix tellement ne pouvait elle être hausser autant avait-il peine à retenir ses larmes. Les mots du blond lui paraissaient si violents, poignardant. Cela en était même pire que la mort elle-même. Jamais Yutaro n’aurait put imaginer un Shohei Kimura aussi blessant. A vrai dire, il ne pensait guère à cette face cachée de sa personnalité.

Comment veux tu que quelqu’un puisse se servir de toi, tu n’es même pas capable de supporté la moindre blessure. Mental comme Physique. Tu es un in-ca-pa-ble O-ka-mo-to

Cette dernière parole acheva mentalement le Trésor qui se tenait sous cet assassin, cette personne blessante qui ne méritait même plus le titre d’humain. Se laissant tomber sur le sol froid, Yutaro sombra et s’engouffra dans les larmes cachant ses yeux avec ses mains. Il savait que le Rokou Takara Kimura se tenait debout, à le regarder, certainement à rire de l’état dont il avait réussi à mettre le jeune Okamoto. Sa voix tremblait, ses hoquêttements incessants allait certainement provoquer encore plus la fureur de Kimura mais il n’arrivait guère à cesser.

Yammette … Onegai … Tu te rends compte … de ce que … que tu me dis … ? Vas-t-en Shohei … Fous le camps …

Shohei ne bougeait pas, pourquoi? Yutaro laissa tomber ses mains de son visage, captivant le regard de celui du blond. Ses larmes de cesser de couler, à l'intérieur le jeune Okamoto était vidé. Pourquoi le Takara Kimura était il si horrible avec lui? Pourquoi paraissait-il si distant?

Après tout reste. Regarde moi m'effrondrer, je suis complétement vidé, exeténué, mort mentalement. Si tu as réussi à me rendre comme ça ne sais tu pas à quel point combien tu comptais pour moi ... Shohei ...

Recherchant la moindre parcerelle de compassion de la part du plus grand, Yutaro savait que c'était inutile mais tout de même il s'efforçait à s'accrocher à cette petite espérance. Ses forces le quittaient, plus rien ne pouvait le relever physiquement mais surtout mentalement. Shohei, cette dernière personne venait de lui tourner le dos, alors pourquoi se forcer maintenant a essayer de se relever.

Tu ne sais même pas ce qui s'est passé avec Hitoshi alors pourquoi tu prononce son nom? Shohei, tu ne devrais pas dire ces choses comme celle ci, tant que tu es dans l'ignorance, tu ne dois pas dire cela.

C'était vrai. Kimura ne devait pas prononcer le prénom Hitoshi devant le Prince. Prince qui ne ressemblait plus à rien. Il avait tout perdu que se soit force physique que mentale. Plus rien ne l'animé et l'effet du nom ne faisait que de l'enfoncer. C'était comme s'il marchait sans une démarche assuré, dans une rue où pleins d'âmes lui susurré tout ce qui c'était passé. Le gouffre l'attendait.

A quand le bonheur? A quand le jour où il pourra de nouveau avoir une vie dite normal comme la plus part des gens ici. Car oui, Yutaro en avait sufisament assez de tout cela. Si aimait ne signifier que tristesse et souffrance alors il ne pouvait accepter cela.

Quoi? Tu es toujours là? Avous que ça te fais plaisir de me voir pleurer comme une fille n'est-ce pas? Et là, dis moi à quoi je te sers?! Tu veux que je fasse quelque chose pour te distraire?! Je suis ton pantin alors bon ...

Shohei n’avait pas pesé ses mots, mais il lui fit autant mal qu’ils ont du blesser le pauvre Yuta. Jamais il n’aurait pensé devenir aussi blessant, irrespectueux mais il le fallait. Près de lui, le Prince mourrait. Descendrait aux enfers. Et Sho ne le voulait pas, il préférait vivre dans le noir toute sa vie au lieu que le trésor Okamoto broie du noir, restant emprisonner entre ses bras.

Le Prince ce laissa alors tomber sur le sol, devenu aussi froid que le cœur de Sho. Il sombrait, blesser, malheureux, cachant ses yeux dans ses mains, cachant les larmes qui coulaient le long de ses joues. Le Takara Kimura ne bougeait pas. Il aurait du partir depuis bien longtemps, mais à la vue de son cher ami, abattu devant lui, il n’arriva en rien à émettre le moindre pas. La respiration saccadée, les larmes s’éclaboussant sur le sol, Shohei avait fini par tout briser, il l’avait complètement détruit. Il était furieux, furieux contre lui, contre ses pensés qu’il n’arrivait jamais à contrôler, furieux de n’en faire toujours qu’a sa tête.

« Yammette … Onegai … Tu te rends compte … de ce que … que tu me dis … ? Vas-t-en Shohei … Fous le camp … »

Malgré les protestations du Prince, le Trésor n’arriva à bouger. Le voir ainsi le bloquait, pourquoi ? Il fallait qu’il parte rapidement. Pourquoi restait-il ici à attendre ? Et attendre quoi ?

Yutaro laissa tomber ses mains de son visage, captivant le regard du blond. Il ne pleurait plus, se qui rassura un instant le jeune Kimura. Néanmoins, il n’allait pas être tendre encore une fois, non il le châtierait jusqu'à ce que Yuta ne revienne plus jamais près de lui.

« Après tout reste. Regarde moi m'effondrer, je suis complètement vidé, exténué, mort mentalement. Si tu as réussi à me rendre comme ça ne sais tu pas à quel point combien tu comptais pour moi ... Shohei ... »

Il le savait mais ne le montrait pas. Yutaro s’était attacher à lui, mais il ne le devait pas. Plus rien, aucune compassion, tristesse, n’apparaissait dans les yeux de Kimura. Il était devenu froid et distant. Son cœur ne battait plus que dans un seul but, qu’il vive mais aucune émotion ne le traversait mit a part cette souffrance incessante.

« Tu ne sais même pas ce qui s'est passé avec Hitoshi alors pourquoi tu prononce son nom? Shohei, tu ne devrais pas dire ces choses comme celle ci, tant que tu es dans l'ignorance, tu ne dois pas dire cela. »

Ce prénom. Il ne l’avait utilisé que parce qu’il savait que Yutaro ne jurait que par lui et qu’entendre son nom le blesserait à un point que personne ne peut imaginer. Hitoshi Hitoshi Hitoshi, Yuta ne savait dire que cela. Et maintenant, serait-il capable de prononcer le nom se Shohei ? Lui demander de revenir ? Non, il avait été bien trop cruel et de toute façon, le Trésor ne reviendrait pas près de lui.

« Quoi? Tu es toujours là? Avous que ça te fais plaisir de me voir pleurer comme une fille n'est-ce pas? Et là, dis moi à quoi je te sers?! Tu veux que je fasse quelque chose pour te distraire?! Je suis ton pantin alors bon ... »

Tout l’énervait, les paroles de Yuta, son comportement, la vie en elle-même, tout l’agaçait. Dieu ne faisait naitre les Humains que dans le but qu’il souffre et se plaigne ? Et le bonheur ? Où est-il ? Les humains sont des êtres stupides ne pensant qu’à leur propre besoin. La main du Trésor Kimura se referma sur elle-même, formant de nouveau un poing. Oui, le bonheur, existe-t-il réellement ? Il voulait en rire, rire à la gueule du monde. Plus rien n’était à la hauteur des attente de Kimura, plus rien ne pourrait le satisfaire, même pas Yutaro, ni Yuriko.

Leurs yeux rentrèrent l’un dans l’autre, formant un lien entre eux. Qu’était-il ? Shohei exprimait de son regard que le jeune Okamoto devait s’éloigner partir, mais Yuta exprimait de la tristesse, une toute autre lueur que celle de Sho. Mais à quoi bon espéré, le Prince ne se faisait que du mal en faisant cela. Le Takara Kimura avait pris sa décision et il ne revenait jamais dessus.

Un pantin ? Il n’avait jamais demandé au Prince d’exécuter tout ses dires, jamais il ne lui avait demandé d’être soumis à lui. Pourquoi faisait-il cela ? Shohei est certes cruel mais se servir de quelqu’un dans le but de jouer avec lui, jamais. Il n’est pas un monstre parmi les milliers de personne se trouvant dans ce lycée. Lui, reste sincère. Mais qui le croirait ?

Ses pieds commencèrent à lui faire prendre le chemin de la porte. Ils lui disaient de partir avant que cela ne prennent de trop grosses conséquences sur le mental de Yutaro. Il passa à quelque centimètre de lui, ne lui adressant aucun regard, aucun geste d’adieu. La porte lui faisait maintenant face, rester ou partir ?

« Tu n’est pas mon pantin, jamais je me suis servis de toi dans le but de me distraire,… Je m’en vais… Yuta »

A cette phrase, il empoigna la poignée et sortit sans un mot de plus. Refermant la porte derrière lui, il s’adossa sur cette dernière et se laissa glisser, passant une main dans ses cheveux. Son corps était devenu lourd, les larmes si proches de la barrière de ses yeux. Il avait mal, si mal qu’il aurait voulu mourir.

« gomen… Yutaro »

Tu n’est pas mon pantin, jamais je me suis servis de toi dans le but de me distraire,… Je m’en vais… Yuta

Iie … Me laisse pas … Shohei